François Mauriac aimait Malagar d’amour. Pendant soixante-cinq ans, il y a accumulé des bibelots, des tableaux, des meubles, etc. hérités, achetés, transportés de son appartement parisien. Et François Mauriac, sensible à cette mémoire portée par les objets, les met en scène dans ses livres. Cette visite de Malagar, appuyée par de nombreuses photographies, de la cuisine aux chambres en passant par le cabinet de travail, est une balade à la découverte des objets aimés qui nous porte à nous attendrir sur le propriétaire des lieux.